Eoliennes : du rêve aux réalités – un film de Charles Thimon

Elles sont partout, incarnant le symbole de la transition écologique : sur les sites internet institutionnels, dans les livres scolaires, les publicités, les films, les médias…Les éoliennes ont envahi les campagnes et les littoraux et sont présentées dans le monde entier, par une propagande systématique, comme le symbole de l’écologie et de la lutte pour le climat. Et pourtant, derrière cette image verte… Contestation populaire, pollution, émissions de CO2, atteintes à la santé et à la biodiversité, détournement de fonds publics, augmentation du prix de l’électricité, conflits d’intérêt, corruption, mafia : découvrez ce que le lobby du vent vous cache sur les éoliennes. 
Fabien Bouglé est expert en politique énergétique et dénonce depuis 12 ans l’inutilité des éoliennes. Il est l’auteur de nombreuses études et tribunes alertant sur le sujet et du livre Nucléaire. Les vérités cachées, aux Éditions du Rocher (2021). Chef d’entreprise dans le secteur financier et culturel, il est également élu municipal.

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ALERTE ! est une collection ouverte aux lanceurs d’alerte désireux de poser les bonnes questions à travers un véritable travail de journaliste ou de chercheur. Dirigée par Jean-Pierre Guéno, elle se veut un lieu refuge contre la pensée formatée à travers des titres forts, des ouvrages fluides et percutants. 
L’énergie éolienne a-t-elle un vrai rôle à jouer dans le ” mix énergétique ” on ne relève-t-elle que d’une imposture plus juteuse pour ses producteurs et pour ses promoteurs que pour le commun des mortels ? Vivons-nous l’ère des marchands de vent, dans le mauvais sens du mot ? Patrice Cahart ne voudrait pas que l’on apporte une fausse solution au vrai problème que constitue le réchauffement de notre planète. Sachant qu’une éolienne ne fonctionne en moyenne, dans notre pays, qu’à 24 % de sa puissance, il est indispensable d’assurer le complément, et de recourir au gaz, polluant. L’éolien est donc une fausse énergie propre, une fausse énergie renouvelable. 
Les éoliennes, dont certaines atteignent maintenant deux cents mètres de hauteur, ravagent nos paysages, qui sont le cadre de vie des Français, et l’une des bases de notre tourisme. 
De surcroît, le courant d’origine éolienne coûte deux fois plus cher que celui des centrales nucléaires actuellement en service, dont l’exemple des États-Unis montre qu’on peut les prolonger durant une quarantaine d’années. La réalisation du programme éolien actuel engloutirait des dizaines de milliards qui seraient bien plus utiles ailleurs (développement des véhicules électriques, isolation des bâtiments). Pour que vous retrouvez votre liberté de penser, Patrice Cahart vous donne les vrais clef du problème.

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Cela a failli se produire cet hiver, mais un jour prochain, la France va se retrouver dans le noir, au sens propre du terme. Il n’y aura pas assez d’électricité pour faire rouler les trains, tourner les usines, chauffer les maisons, allumer les télévisions et les ordinateurs, recharger les téléphones portables… Le développement incontrôlé d’énergies éoliennes et solaires massivement subventionnées, dans un marché déjà surcapacitaire, conduit les « producteurs historiques » à la faillite ou à se réorienter vers la production de ces mêmes énergies ! En Europe, la règlementation des domaines de l’environnement et de la concurrence tient lieu de politique énergétique. En Allemagne et en France, c’est la peur du nucléaire et le mirage des énergies renouvelables qui guide la fameuse transition énergétique. Et au fantasme du « tout renouvelable » s’ajoute, celui aussi pernicieux, du « tout marché ». L’électricité est un bien de première nécessité. Quelle nouvelle forme de service public faut-il mettre en place pour donner à tous les Français accès à une électricité stable et bon marché dans la durée ? C’est à cette question que ce livre tente de répondre.

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L’image d’une énergie propre capable de remplacer le nucléaire et utile dans la lutte contre le réchauffement climatique, entretenue par les partisans de l’éolien, est un mythe qui justifie de coloniser le territoire français sans aucun encadrement public. Les aérogénérateurs investissent dorénavant tout le pays avec des machines monstrueuses de plus de 200 mètres de hauteur, dénaturant les plus beaux territoires et dégradant le cadre de vie de milliers de personnes. L’État protège les spéculateurs du vent contre les citoyens qu’il est censé protéger, par le démantèlement progressif du droit de l’environnement et le recul de la démocratie.

Antoine Waechter est ingénieur écologue, directeur d’un cabinet de consultants en environnement. Engagé dès l’âge de 16 ans en faveur de la nature et des paysages, candidat à l’élection présidentielle en 1988, il a assumé successivement diverses fonctions électives, du local à l’Europe. Heurté par l’apparition des aérogénérateurs dans des territoires appréciés, il s’interroge dès 2002 sur une filière qui ne répond à aucun des enjeux majeurs de ce siècle et ne poursuit d’autre finalité que la rémunération de ses investisseurs.

Auteur de Dessine-moi une planète (1990) et Le sens de l’écologie politique (2017).

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Devenues un symbole de ” la transition énergétique “, les éoliennes sont aujourd’hui partout : sur les crêtes du sud du Massif central, dans les plaines du Centre, du Nord et de la Champagne, des monts du Morvan aux littoraux occitans, et bientôt au large de la Bretagne et de la Normandie. Comme on l’imagine, ceux qui voient l’éolien comme une technologie fiable et très compétitive estiment qu’il faudrait le développer sans attendre, dans un calendrier que la crise climatique impose comme une évidence. Mais d’autres, plus nombreux qu’on le pense, s’opposent à ce développement aveugle et dénoncent l'” industrialisation de la campagne “.

Ces conflits révèlent en réalité la fracture entre deux visions de l’écologie : développement durable et acceptation du capitalisme versus sobriété et désir d’émancipation. Les uns raisonnent en entrepreneurs, les autres critiquent les effets politiques et sociaux sur une communauté de vie. Les uns se veulent spécialistes de l’énergie, les autres parlent de paysages et de protection de la nature. Alors, ” pari gagnant ” ou ” grande arnaque ” ? Une enquête à lire d’urgence.

Journaliste indépendant, Grégoire Souchay a déjà publié dans la même collection Sivens. Le barrage de trop. Il a co-écrit, pour Reporterre, une enquête déterminante sur les circonstances de la mort de Rémi Fraisse. Ni ” pro ” ni ” anti ” éolien, il tente ici d’éclaircir cet imbroglio de notre modernité. 

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La France compte déjà plus de 6500 éoliennes et il est prévu d’en installer au moins 20 000 dans les prochaines années. Des machines de 180 mètres de haut faites pour durer longtemps. 
Ingénieur et spécialiste du sujet, Jean-Louis Butré propose aux citoyens de se poser les questions suivantes : 
-pourquoi importer ces machines pour produire une électricité supplémentaire qui coûte deux fois plus cher ? 
-Pourquoi, alors que la France exportait encore il y a peu 15% de sa production, l’implantation de ces engins conduit-il à importer de l’électricité ? 
-Pourquoi cette industrie est-elle aussi lourdement subventionnée ? 
-Qui se cache derrière le puissant lobby des promoteurs éoliens ? 
-Pourquoi ne dit-on pas que les éoliennes produisent indirectement du gaz à effet de serre et que l’électricité d’origine éolienne est de mauvaise qualité ? 
-quel est l’impact de l’éolien sur les comptes désastreux d’EDF ? 

Au final, par delà le scandale économique et démocratique, le lecteur découvre effaré qu’au gré de marchandages entre des communes, des propriétaires et des promoteurs, la France est en passe de subir un véritable massacre de ses paysages sans le plus petit avantage pour l’intérêt général.

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Le grand plan de développement de l’énergie éolienne en France va-t-il tourner au naufrage?? Tout semble l’annoncer. Des doutes de plus en plus forts et justifiés entourent ce choix énergétique qui répond essentiellement à des considérations politiques. Dans toutes les régions de France se manifeste une opposition croissante de la part des riverains contre les éoliennes qui menacent leur environnement et leur santé, mais aussi des Français en général, révoltés par le saccage de leurs paysages et le gaspillage des denier publics. Trompeusement paré de toutes les vertus écologiques, le développement en France des éoliennes, destructrices du patrimoine et de notre potentiel touristique, n’obéit à aucune logique climatique ou économique. Il donne lieu à des montages financiers souvent opaques qui ne profitent qu’à un petit nombre d’initiés, alors que c’est l’ensemble des Français qui, par leurs impôts et les taxes perçues sur les factures d’électricité, supportent le coût insensé de cette politique irresponsable. Il est plus que temps de renoncer à cette utopie écologique qui ne correspond ni aux spécificités de la France en matière de paysages, ni à son modèle énergétique, et qui nous conduit collectivement vers un désastre culturel, environnemental, sanitaire et financier sans précédent.Source : Éditeur